Gens,
cette nuit a été particulièrement forte en émotions : j'ai fait des rêves plus zarbs et bildés les uns des autres. Et j'ai eu envie de les partager avec votre pomme.
- D'abord j'ai rêvé que je rangeais mes jeux de société, qui était donc en bordel. Pourtant j'vous assure, chez moi ils sont bien rangés.
- Puis j'ai rêvé que j'étais avec Casa et on montait un espèce de complot contre une fille. Alors comme elle était dans des toilettes en train de se changer, juste à côté de notre table de bar, Cas est rentré dans les toilettes, et moi j'essayais de regarder par l’entrebâillement du rideau (des toilettes avec des rideaux, parfaitement) et je voyais qu'en fait, il lui faisait des bisous, le bougre ! J'étais donc en plein questionnement : fait-il semblant ou non ?
- J'ai aussi rêve de l'Homme Susceptible. Genre, viteuf. J'arrive en cours (en retard, mais ça ai-je besoin de le préciser ?) et l'Homme Susceptible n'est pas là. A sa place, un ancien client du McDo (le premier McDo). Du coup je sors avec lui, on se ballade. A un moment on s'embrasse même (BARK!) mais c'est pas important. Puis on se retrouve à nouveau dans la salle de classe. Il s’assoit sur la chaise de prof et moi sur ses genoux (...) et là il me demande de l'embrasser, genre officiellement tu vois ? Je suis pas très jouasse (je veux mon Homme Susceptible moi, pas ce mec dégueu) (il est dégueu). Et là il me rétorque que de toute façon on est déjà sorti ensemble (au sens d'aller dehors se promener) et apparemment cet argument est très percutant pour ma personne puisque je me met à l'embrasser joyeusement (ARCHI BARK!). Et là, l'Homme Susceptible revient et j’apprends qu'en fait tous les mails que j'ai envoyé à l'Homme Susceptible c'est pas lui qui les a reçu et y a répondu mais ce vil client ! Désespoir, trahison. Et du coup, l'Homme Susceptible dit d'une manière fort peu douce (carrément brutale en fait) "J’espère que vous êtes pas du genre à ...".
J'ai oublié les "..." mais en substances, il nous précisait qu'il détestait qu'on lui envoie des mails, comme moi je l'avais fait.
- Et le meilleur pour la fin !
Alors, j'ai accouché. Mais attention, pas de mon bébé. J'étais mère porteuse pour une autre femme. Et l'accouchement se passait dehors, genre comme des box tout le long d'un mur, avec la "place" de l'hôpital au milieu. Bref.
Et donc le médecins m'accouche et me met le bébé sur le ventre (C'était l'être le plus merveilleux du monde, accoucher c'est trop bien, pensez-y!). Et moi je lui parle mais je sens qu'il me comprend pas, il est pas réceptif ce gosse. "Logique" me dis-je "c'est pas le mien". Et là, je sens qu'ils ont pas coupé le cordon c'est cons de médecins. Et qu'ils sont partis en plus !
Du coup un type à côté de moi (oui, en plus des médecins il y avait la famille de la mère du bébé) (et là je crois que ce type c'était son frère) coupe le cordon lui même avec un ciseau à ongle. Moi je suis un peu inquiète, rapport à l'hygiène tout ça.
Et je me lève pour trouver ces satanés médecins. Mais là, je perds mon placenta dans l'herbe ! Il y en a partout c'est dégueu ! La mère arrive, me demande si ça va, je lui indique que mon placenta n'a pas été enlevé et que donc il est partout par terre et que je dois appeler les docteurs. Elle trouve un téléphone mais au lieu d'appeler elle-même, cette morue, elle me file le téléphone. Je l'insulte dûment pendant qu'elle part avec le bébé et je tombe sur un médecin à qui je raconte mes déboires. Sa réponse : "Ah mais vous êtes toulousaine". ... "Euh... oui". Et là je dois lui donner les références de mon box extérieur (soit le numéro, et trois mots, qui étaient inscrit au dessus du lit). Mais j'ai oublié. Je crois que c'était le numéro 14 et que c'était la partie rouge. Mais les trois mots j'ai complètement oublié.
Voilà.
Sinon je suis dans la famille du centre du monde depuis jeudi et c'est très chouette. Et je rentre demain ou ce soir dans ma maison. Mais sûrement demain parce que l'école c'est que l'après-midi.
Soyez sages.
2 avis:
Mlle P., je vous prie de soit arrêter de me harceler de mails coquins, soit de me rejoindre dans mon bureau où je vous courtiserai comme jamais, dépassant toutes les barrières que la décence impose. Je vous embra(s)serai peut-être même avec fougue contre la photocopieuse (et plus si affinité). Signé: Votre cher Pépé mich-mich (yours truely)
hahahahahahahaha !
Je ri vraiment comme une truie phacochère, merci.
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Fôtthe dhaurtograffe et GROS MOTS autorisés.
Langage sms, si on pouvait éviter...